Après présentation par M. le bourgmestre et M. le président de la Famennoise, Nicole a émis son soutien aux habitants de la Fourches qui sont inquiets non pas depuis 3 – 4 ans, ou 5 ans comme dit avant, mais depuis 10 ans. L’inquiétude est en effet arrivée dès la décision prise en 2014 de construire un immeuble et de détruire les 150 maisons vétustes.

Il est urgent de rassurer les habitants de ce quartier, quant au fait qu’ils seront relogés dans les nouveaux logements. Il faut aussi s’organiser pour que les personnes qui redoutent de perdre leur jardin privatif aient accès à des espaces verts à proximité immédiate de leur futur logement.

Nicole a approuvé le projet, tout en demandant d’éviter le placement de grosses pierres blanches qui sont parfois conseillées dans ce contexte.

Il est préférable d’opter pour végétaliser avec des fleurs blanches.

Tout en ayant précisé qu’elle préfère les oiseaux en liberté qu’en cage, Nicole a apporté son soutien à ce projet qui est une belle reconnaissance la ville de Marche.

Elle a insisté pour que le Creaves et Natagora soient sollicités très vite afin de guider les enfants des écoles.

Elle considère aussi que le règlement de l’événement stipule que les lois belges et wallonnes sur le bien-être animal doivent être respectées et que tout contrevenant doit être expulsé sur le champ.

QUESTIONS ECOLO :

1. Les soucis de réseaux dans les communications téléphoniques au centre-ville perdurent. Avez-vous obtenu une réponse à votre courrier aux firmes de télécom ? Quelles sont les perspectives ?

M l’échevin Grégoire a expliqué ses démarches depuis le conseil du 3 juin et a dit que suite à celles-ci, et la réponse qu’il vient d’obtenir de Proximus et Orange.

En réponse à une exigence européenne, une antenne Huaweil a été remplacée par une antenne Nokia. Il y a cependant des interférences entre les signaux véhiculés par les 2 firmes – Orange et Proximus. Des travaux paramétrages sont en cours pour y remédier.

Nicole a remercié pour la réponse et insisté pour qu’une solution soit apportée au plus vite à cette situation qui est très pénible pour tous les habitants du centre-ville et qui nuit à ses commerces.

2. Pourriez-vous nous informer sur l’état de progression du GCU et du SDC suite à l’enquête publique ? Quelles sont les prochaines étapes ?  Ces dossiers avaient été présentés comme les plus importants de la mandature…

le bourgmestre a répondu que les 76 réclamations reçues à l’enquête publique suite à une agitation politique ont été communiquées au bureau Creat qui est mandaté par la ville pour retravailler le projet. Des rencontres sont prévues à court terme. Par ailleurs, il ne souhaite pas prendre de décision rapide sur le dossier GCU et préfère que la décision soit prise par la nouvelle majorité en place.

Nicole en conclut que la ville a donc changé de posture puisque la volonté initiale était de les faire passer rapidement avant fin juin. Cette posture lui semble d’ailleurs plus sage. Le nombre important de réponses à l’enquête publique révèle l’intérêt des Marchois pour leur milieu de vie et la bonne participation citoyenne à Marche. C’est positif, il ne faut pas y voir de l’agitation politique.

Borsus complète en disant que la nouvelle règlementation wallonne en matière d’aménagement du territoire impose qu’une étude des impacts environnementaux soit menée pour le GCU, ce qui doit encore être fait.